Dans la première partie de notre diptyque sur la mise en scène, Michael et Sébastien passent en revue les notions de bases :
- une définition, qui finit en métaphore : « la fenêtre narrative magique » (si, si),
 - les choix (conscient ou non) qui fonde une création,
 - montrer quoi, dans quel ordre et avec quelle insistance pour…
 - réfléchir à la signification de sa mise en scène, à l’intérieur de l’histoire, pour le public-joueur ET « entre les deux »,
 - le processus fondamental de masquer et démasquer, notamment pour créer la tension narrative,
 - le découpage du temps (de narration / de jeu / du MJ / des joueurs…), et donc notamment les structures en 2, 3 et 4 actes,
 - la focalisation, c’est à dire les différents « points de vue » par lesquels on perçoit l’histoire t donc…
 - le cadrage , soit la composition de ce qu’on voit par notre fenêtre narrative : quelle quantité de décor vu par quel angle, quelle importance donnée aux personnages, s’éloigner ou zoomer etc.,
 - les transitions entre les scènes, les actions, les cadrages… et leur influence sur le rythme.
 
Dans le prochain carnet, on se penchera donc sur des « effets audiovisuels » dont peut s’inspirer le JdR… et on répondra aux questions d’auditeurs sur la mise en scène en général. N’hésitez donc pas à nous en poser plein.
        




